Un atelier son à l'école Léon-Jouhaux De cet atelier est issue une pièce radiophonique d'une vingtaine de minutes, diffusée sur une radio locale grenobloise : Radio Kaléidoscope (97 FM). Écouter la pièce :
|
|
+
+ + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + +
+ + + + + + + + + + + + + + + |
Mac de Marseille
|
|
+
+ + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + +
+ + + + + + + + + + + + + + + |
Engrenages du 13 au 25 mai 2008 En amont (et dans le cadre) de la manifestation Engrenages, nous avons habité à la compagnie du 13 au 25 mai. Pour préparer nos interventions avec nos (nouveaux) complices et pour continuer à réfléchir à notre projet d'édition. Plusieurs rendez-vous publics sont prévus durant cette période. • samedi 17 mai repas à partir de 20h / projection du film "Après quoi on court?" (fiction familiale inachevée /vidéo, 25mn, 2005) à 21h. • lundi 19 mai repas et rencontre à partir de 20h / "A-t-on assez parlé ?" + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + Dans le cadre d'Engrenages – manifestation, sonore, radiophonique et urbaine – nous avons présenté deux pièces de Cinema radioguide créées à Marseille – dont une simultanément à Bruxelles – et une série de concerts de sons de ville. + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + Co-production Ici-Même [Grenoble] / La Compagnie / Lieux publics / Radio grenouille / Euphonia / La Friche, Système Friche Théâtre / l'acsr et Radio panik (Bruxelles). la-compagnie.org |
+
+ + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + +
+ + + + + + + + + + + + + + + |
L'art des corps |
|
+
+ + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + +
+ + + + + + + + + + + + + + + |
Habiter au bord de la panique # 2 Champ d’expériences /// une manifestation Ceci n’est pas un festival, mais au moins un « moment de visibilité ». Durant six jours, donner à voir des expériences d’artistes, d’architectes, d’écrivains, de musiciens. Croiser des trajectoires urbaines, dont certaines ont commencé il y a longtemps, ailleurs, dont beaucoup se prolongeront encore, après… Ceci n’est pas un festival, mais… nous étions nombreux et même plus que prévu ! Ouvert sur appel à participation en mai dernier, un groupe s’est peu à peu constitué autour de cette idée d’« habiter au bord de la panique ». Collaborateurs, complices de plusieurs années, voisins, commerçants, rencontres de voyage, venus de Marseille, Bordeaux, Paris ou Bruxelles. Ce champ d’expériences s’est ouvert aux auteurs, aux singularités qui ont voulu s’en saisir. Une seule contrainte : s’inscrire dans un processus d’échange permettant la constitution de ce collectif provisoire, un groupe à notre image, en déplacement et sans territoire d’appartenance trop défini. Habiter au bord de la panique # 2 convoque la ville, le quotidien, les usages et relations sociales comme terrain d’expériences indisciplinées, inquiètes, brouillées. L’énergie consacrée à ce projet reposait sur la seule volonté de participation de ses acteurs : en effet suite à des péripéties politico-économiques ce projet s’est vu amputé de son principal soutien local, une économie pauvre s’est imposée sans que nous ne renoncions. Nous remercions tous les participants à cette aventure pour tout plein de choses et surtout pour leur enthousiasme contaminant. Nous remercions beaucoup aussi monsieur Brise-glace, partenaire essentiel dans cette entreprise de coopération. Nous avons rayonné autour du Théâtre – et y sommes revenus – en ne nous limitant pas au quartier, tant la ville nous semble aujourd’hui être un réseau de fluxs explosant ses propres limites. Des fragments dansés, des mots écrits, dits et criés, des « chorégraphies » radioguidées, des installations sonores et visuelles, des projections de films, des randonnées urbaines, « des habitants d’échafaudage »… Et puis, l’air de la ville. Nous avons enfin produit une édition (« journal de voyage », recueil d’images, espace de réflexion et d’expression de ce collectif provisoire…) diffusée à partir de janvier 2009. La panique peut-elle être un sentiment diffus, comme si le sol bougeait sous nos pieds ? Ne sommes-nous pas astreints à être perpétuellement mobiles, confrontés à un « nomadisme » et une précarité durables ? Parfois, il est urgent de savoir s’arrêter, de choisir le rythme de la marche. À l’heure de la « société du risque » nous sommes sommés – en tant qu’artistes – de définir et d’assurer à tout moment un « retour sur investissement ». Nous avons pourtant décidé d’ignorer les formatages du spectacle et de réunir ce collectif pour un processus plutôt qu’une forme, un champ d’expériences comprenant l’indéterminé et l’improvisation comme outils. Ces expériences inviteront à modifier notre perception de l’environnement, nos schémas de représentation, au risque de la perte des repères. Le collectif provisoire : + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + production Ici-Même (Grenoble) en partenariat avec le Théâtre 145, Radio Campus Grenoble, Radio Grenouille, le Brise-glace, le 102, la librairie Bonnes Nouvelles et le garage Mozart, avec le soutien de la DRAC Rhône-Alpes, du conseil général de l’Isère et de la région Rhône-Alpes (FIACRE). Remerciements à l’École Supérieure de Commerce de Grenoble pour nous avoir donné un peu d’électricité et à la Ville de Grenoble pour le prêt du local du 36 rue Revol. |
![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() |
+ + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + |
||
Concerts de sons de ville_Paris 13e du 4 au 14 décembre 2008 Concerts de sons de ville à la gare d'Austerlitz. + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + Ces Concerts de Sons de Ville étaient programmés dans le cadre du projet DETECT-LABO, en coproduction avec 2R2C (Coopérative de Rue et de Cirque) et POLAU (Pôle des Arts Urbains - Tours) et en partenariat avec la Sncf / Gare d'Austerlitz. |
un sujet "web Télérama" à écouter : |
|
|